Le grave accident de la route, survenu le 27 janvier 2017 à l’Est du pays dans la commune de Sagna, le énième du genre, avec son cortège d’une vingtaine de morts à peu près, interpelle encore le gouvernement à prendre avec une extrême urgence les mesures nécessaires.
Moha
Les aveux passés par Lamine Diack, ancien président de la fédération internationale (IAAF), mis en examen pour »corruption passive » et »blanchiment aggravé », face aux enquêteurs de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales révélées dans le journal Le Monde du 18 décembre 2015 ont remis au goût du jour l’épineuse question du financement des partis politiques au Sénégal. Ce dernier ayant affirmé avoir reçu cet argent pour financer la campagne présidentielle de 2012 de certains candidats. Cette question de l’encadrement du financement des partis politiques nous l’avons traité en partie
Cliquez ici : Club de la Presse sur Telesud du 07012017
Chers amis,
Vous trouverez ici l’intervention du Président Mohamed Ly sur les sujets de Sécurité, Paix, Démocratie en Afrique … Dans le Club de la presse su 07 Janvier 2017 HAmed Paraison aborde les défis de l’Afrique en 2017 avec ses invités sur la chaîne africaine Telesud.
Dialogue politique au Sénégal : De la calinothérapie de l’opinion à la prise de responsabilité de l’opposition
Afrique – Franc CFA: 71 ans d’histoire contrastée avec Mohamed LY Président du think tank Ipode
Cliquez ici: Afrique : Franc CFA, 71 ans d’histoire contrastée
Chers amis,
Vous trouverez ici l’intervention sur le franc CFA sur la chaine africaine Africa24.
La principale idée était de dire:
- Il faut continuer à travailler sur la création d’une monnaie commune à l’Afrique de l’ouest, espace UEMOA, pour passer ensuite à l’étape de monnaie africaine.
- Il ne faut pas brûler les étapes en voulant rompre avec le franc pour de mauvaises raisons: attitude juvénile anti-français. et que l’urgence était à la consolidation de nos économies d’abord. Des économies avec des fondamentaux solides.
- Il urge que les 2 francs sont convertibels directement entre eux.
- Il ne faut pas sous estimer l’apport du franc sur le CFA lors des crises majeures qu’a connu l’UEMOA, comme au moment de la crise ivoirienne. ==> stabilité politique et économique de la zone.
- Et un point non négligeable: la maitrise de l’inflation autour de 2%.
- Les point des détracteurs du CFA qui demande le cyclage pour une 2e fois de nos réserves de change est incompréhensible car économiquement c’est un non sens.
En résumé, il faut sortir du franc CFA de façon sérieuse, et ne pas en faire une aventure anti-francaise de déconstruction coloniale uniquement, mais que cette sortie soit un processus construit, maitrisé et qui débauche sur une monnaie forte de l’Afrique de ‘Ouest. Une monnaie commune qui sera au moins partagée par les pays qui partagent le CFA et aller sereinement vers une monnaie africaine.
Le Sénégal est à la croisée des chemins et tout ce qui s’y passe représente des prémisses d’un pays en phase d’émergence, de maturation politique et de décollage économique. Le discours du Président Macky Sall ce 21 Septembre à la tribune des Nations Unies, nous a rappelé que notre pays joue une partition non négligeable dans le concert des nations pour le règlement de certains conflits, l’agenda 21, la construction d’une Afrique unie et d’une paix durable dans le monde. L’écoute que notre diplomatie bénéficie dans le concert des nations est au delà de notre poids démographique, militaire et économique. C’est une source de satisfaction qui alimente un optimisme raisonné.
Du samedi 1er au 5 octobre 2016, Rama Yade et Mohamed Ly président du Think Tank Ipode se sont rendus à Dakar et à Abidjan où ils ont été reçus en audience par M. Macky Sall et M. Alassane Ouattara, respectivement Président de la République du Sénégal et Président de la République de Côte d’Ivoire.
Mme Yade et Mr Ly à l’occasion de ce déplacement ont donné à voir l’Afrique nouvelle, celle qui gagne et connaît une véritable révolution économique, technologique et écologique
Le Sénégal face aux défis de l’intégration sous régionale: faut il s’inspirer du Venezuela ?
Les pièges des dérives de l’Étatisation de nos Économies.
Le Sénégal est un pays membre de « l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine » (UEMOA), groupant huit pays anciennement colonisés par la France qui continuent de leur être liée par des Accords de coopération économique, financière et militaire des leur accession à l’Indépendance nationale en 1960. Le Sénégal est la deuxième Économie après la Cote d’Ivoire dans ce regroupement sous régional. Ensuite, depuis 1975, le Senegal, est, avec 15 autres États dont les Huit membres de l’UEMOA, partie intégrante d’un regroupement sous régional plus vaste avec 300 millions de consommateurs, que constitue la « Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest » (CEDEAO) dont il est la quatrième Économie derrière le Nigeria, la Cote d’Ivoire et le Ghana.
Fidel Castro Ruz fut un homme qui s’était entièrement consacré à la révolution en général et à son pays en particulier, sa vie durant. C’est véritablement, un exemple de constance et de fidélité à ses convictions communistes profondes, comme cela doit l’être pour tout homme d’ailleurs, par rapport à ses convictions.
Le code des Marchés publics au Sénégal : entre incertitude, recherche d’efficacité et de célérité
Le secrétaire d’État en charge du suivi du Pudc (Programme d’urgence de développement communautaire), Souleymane Jules Diop trouve que les normes de passation des marchés publics ne sont pas faciles à suivre. « Je ne parle pas pour critiquer, mais nous avons un Code des marchés qui pose beaucoup de contraintes, mais surtout de temps et de délai
Mohamed Ly, président- fondateur du Think Tank Ipode : «La recomposition politique dépendra des Législatives»
Il a donc franchi le Rubicon, en graciant sans état d’âme le premier condamné de la Traque des biens mal acquis, Karim Wade, le fils de son père, le distingué disciple de son marabout.
Je ne m’attarderai pas sur le mystère, les nombreuses zones d’ombre qui entourent cette rocambolesque grâce. Des observateurs plus avertis que moi se chargeront de jeter une lumière sur cette affaire qui est un reniement de plus, et pas des moindres, des engagements du candidat Macky Sall. L’objectif de cette contribution est de revenir un peu en arrière, de montrer comment Wade-père a créé pour Wade-fils les conditions qui lui ont permis d’organiser le pillage systématique de nos maigres deniers publics.
Sénégal: Libération de Karim Wade fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, en catimini et nuitamment !
En vérité, la libération de Karim Wade est l’expression achevée et la matérialisation parfaite d’une justice de classe. Elle prouve à suffisance, que la lutte de classes est bien réelle et encore plus actuelle aujourd’hui que jamais, même si l’on tente de la masquer. Sinon, pourquoi Macky Sall n’a pas libéré, pour les mêmes raisons, les milliers de pauvres voleurs, prisonniers de droit commun, comme Karim, qui croupissent encore en prison
Les préoccupations des Sénégalais se trouvent bien ailleurs, que dans les retrouvailles de la famille libérale
Si toutefois, les rumeurs, qui circulent avec insistance ces temps-ci dans notre pays, sont avérées, ce serait vraiment, un manque de respect total, du président Macky Sall, envers les 65% d’électeurs qui avaient voté en sa faveur en 2012, contre Me Wade. Ce serait, même également, dans une certaine mesure, une trahison sans équivoque et un détournement du choix des citoyens. Disons dans le vrai sens du terme, de son engagement solennel envers le peuple sénégalais, comme toutes les coalitions qui l’avaient soutenu à la présidentielle de 2012.
Nécessité d’une rupture effective avec le passé décadent du fonctionnement de notre administration
Actuellement au Sénégal, tout le monde s’émeut, s’inquiète, se plaint et se pose quantité de questions sans réponse, c’est-à-dire pourquoi tous ces accidents mortels et drames qui se multiplient chaque jour davantage, sans qu’on ait même aperçu un début de solution, à plus forte raison, une solution radicale et définitive?
Le 19 mars 2000, le peuple sénégalais tournait une nouvelle page de l’histoire politique du pays. Ce jour-là, les électeurs portèrent au pouvoir le candidat Abdoulaye Wade en lui accordant 58,49 % de leurs suffrages. Le candidat sortant, Abdou Diouf, était pratiquement confiné dans son score du premier tour, passant de 41,30 % à 41,51 %. Il perdait ainsi le pouvoir après 40 ans de présence au cœur de l’Etat socialiste.
Il a sa constitution. Et après ?
Ils ont sauvé leurs sept ans, et c’était pour eux le plus important. Le « oui » l’a en effet remporté avec 1 357 412 voix, soit 62,70 % des suffrages exprimés. Mais la victoire est modeste, si on considère le taux d’abstention très élevé : plus de 60 %. En d’autres termes, sur un peu plus 5 500 000 inscrits, seuls 2 184 311 ont voté. Les vainqueurs s’empressent de comparer avec les référendums en Europe où les mêmes taux d’abstention élevés sont récurrents.