Le caillassage du convoi présidentiel à la Cité universitaire, au-delà de la réprobation totale qu’elle inspire à tout républicain honnête, appelle chez moi un sentiment de désolation totale pour l’occasion historique que les étudiants ont raté de faire l’évènement.
Car, de quoi s’agit-il ? Le Président de la République décidant d’aller faire un pèlerinage au 168 du Pavillon A, ne cherchait rien d’autre qu’à créer une occasion de rencontre avec les étudiants en dehors des sentiers battus.