La recrudescence des agressions et vols à main armée réapparaissent et deviennent actuellement une préoccupation majeure et inquiétude pour les populations. Le phénomène crève d’ailleurs l’œil de tout honnête Sénégalais
Moha
Ipode y était: Le progrès c’est nous ! L’événement 24h chrono de La Fondapol
le samedi 16 novembre 2013 la Fondation pour l’innovation politique Fondapol a organisé un grand événement sur le thème du progrès et de l’innovation. L’idée était était de faire confiance à celles et ceux qui ont la compétence, le talent, le désir, la volonté de faire, que ce sont des vies qui changent nos vies, qui changent la vie, et que c’est une formidable source de progrès !
Le CNRA et la TFM sont interpelés sur le reportage truffé de contrevérités sur les Bédik ?
Avouons que nous regardons rarement la télé à cause de la pitrerie de certaines émissions qui y sont diffusées sans le moindre contrôle d’un maître de l’art. Mais à vrai dire, nos médias, à travers certains de leurs animateurs ainsi que les programmes proposés, sont absolument très loin d’être des facteurs de qualité, qui véhiculent une éducation instructive appropriée et bénéfique aux populations.
Le samedi 15 mars 2014, IPODE a organisé, à l’ENDSS, un forum autour du thème : « Réforme des institutions: fondamentaux, convergences et divergences autour du rapport de la CNRI. » Cette initiative, heureuse, est à encourager. Il convient de signaler que ce n’était pas là la première initiative de IPODE au Sénagal. Elle en a organisé de nombreuses autres, sans compter les contributions écrites pertinentes de ses différents membres sur les questions d’intérêt national.
Contribution de Mandiaye Gaye au Forum sur la CNRI organisé par le Think Tank IPODE à L’ENDSS
Pour commencer, je remercie les initiateurs d’avoir eu cette idéegénéreuse d’organiser ce débat dans le seul but de permettre aux Sénégalais d’avoir plus d’éclairage sur le contenu des réformes préconisées par la CNRI.
J’estime que la CNRI a fait un excellent travail en conformité avec l’exigence du peuple sénégalais et les termes de référence du président de la République qui ont été consignés dans sa lettre de mission confiée au Pr Amadou M Mbow.
La presse en ligne de notre pays a repris amplement une interpellation d’un patron français vers notre patronat. Le titre provocateur de cette confidence est ‘’ Le patronat sénégalais quémande l’aide de l’Etat et n’a pas créé 2500 emplois en 14 ans’’. Je me suis intéressé à cette déclaration d’autant que si elle est vraie, elle est très grave pour l’éthique et l’image de notre patronat, qui par ailleurs, a ses dirigeants qui ne ratent pas d’occasion pour assener des leçons de patriotisme économique et de morale à la classe politique.
Le 31 Aout 2012 je publiais dans la presse un article intitulé “Stop aux emprunts obligataires de l’état”. Nous étions à un deuxième emprunt obligataire pour lesquels il ne nous a été communiqués ni la pertinence, ni l’impact économique. Mais je me sentis bien seul à dénoncer cette pratique. Les analystes contre les milliards récoltés au groupe consultatif de Paris pour financer le PSE étaient aphones !
Enfin le rapport de la commission nationale de reforme des institutions a été rendu public et nous en avons pris connaissance. Pour avoir travaillé sur la question et participé dans un esprit citoyen au débat sur la question nous nous empressons ici de donner nos premières impressions. la CNRI a rendu un travail sérieux, dépouillé et très intéressant dans le fond et qui mérite adhésion dans sa globalité.
Dans le débat en cours sur le rapport de la CNRI, en ce qui me concerne, il n’est ni question de remettre en cause la noblesse et le respect mérité des membres de la CNRI ni de celui du professeur Mbow, mais de revenir aux principes de base de la république: être républicain jusqu’au bout. Je trouve l’analyse de certains observateurs viciée dès le départ, quand il propose au chef de l’état d’appeler à un referendum sur l’avant-projet de constitution de la CNRI pour avoir la conviction de l’adhésion massive du peuple autour du travail du respectable Amadou Moctar Mbow.
La Politique économique du Sénégal est définie à partir de notre ancrage dans la Zone Euro, qui perpétue la Zone Franc, comme en atteste une Etude de la DPEE intitulée : « Différentiel d’inflation dans une Union Monétaire : le cas de l’UEMOA » publiée en Août 2010.
Acte 3 de la décentralisation : La planification, une exigence pour la territorialisation des politiques publiques
[vc_row el_position=”last”][vc_column][vc_column_text]La politique de décentralisation au Sénégal relève d’une tradition très ancienne. Initiée bien avant les indépendances, elle s’est traduite, dès l’accession à la souveraineté nationale et internationale du pays par plusieurs initiatives visant à l’approfondir.