L’élection présidentielle en Guinée s’approche peu à peu ; elle aura lieu au début du mois d’octobre, dans un climat politique très tendu. En perspective, il est important d’évaluer le niveau de préparation de la Guinée et comment contenir les fracas qui pourraient en découler.
Moha
Visite du Président Macky Sall à l’UCAD|Distinguer la noblesse du syndicalisme étudiant au banditisme
Quoiqu’il en soit et de quelque bord politique qu’on se situe, il faut déplorer le « caillassage » du cortège présidentiel ce Vendredi 31 Juillet 2015 à l’Université Cheikh Anta Diop. D’autant plus que le Président y était venu avec de très bonnes nouvelles pour le monde universitaire en répondant positivement et par des actes concrets à de vieilles doléances des syndicats étudiants et des enseignants du supérieur.
Africa News Room du 21 Juillet 2015 – Le débat sur la dépénalisation des délits de presse au Sénégal
Ce mardi 21 Mai 2015 sur le plateau d’Africa24 Mohamed Ly président du think tank Ipode était l’invité de l’African News Room sur le dossier du jour: Le débat sur la dépénalisation du code de la presse au Sénégal
Quand le virus de la « politique politicienne » atteint les milieux de la Société civile
Les récentes sorties du M23 et de « Senegaal bu nu beug » sur la proposition de loi portant réforme du Règlement intérieur de l’assemblée nationale, et l’ «externalisation » du PDUC, laissent, une nouvelle fois, apparaître dans les rangs de la société civile, les symptômes de la contamination du virus de la « politique politicienne ».
Au regard du fonctionnement actuel de cet ordre, certains Sénégalais qui en sont totalement exclus, sont parfaitement et légitimement en droit de se demander, si celui-ci, n’est pas en fin de compte, l’apanage exclusif ou domaine réservé à une catégorie privilégiée de Sénégalais particuliers
En initiant ce référendum qui semble le conforter, Tsipras aura su déjouer la stratégie qui a été déroulée contre Morsi (Egypte). Il a réactionné la démocratie en invitant son peuple à s’exprimer sur la question du remboursement de la dette, avant que celui-ci ne soit acculé par la pression sociale et le désarroi. De ce fait Tsipras avec Syriza reprennent la main sur ce rapport de force qui leur est imposé, ils reprennent aussi de la légitimité.
Réflexions de Ibrahima Séne sur la Controverse autour des « heures supplémentaires » au Sénégal
Des voix d’hommes de gauche et de syndicalistes se sont élevées pour sonner la mobilisation contre le projet du gouvernement de supprimer les « heures supplémentaires dans la Fonction publique », dans le cadre de sa politique de « réforme du système de rémunération des agents de la Fonction publique ».
Ce qui étonne dans cette attitude, c’est que cette réforme a été longtemps exigée par les Centrales syndicales du Sénégal, pour lutter contre les distorsions criardes et les inégalités que le régime de Wade y a introduites.
Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine sur la pléthore de fêtes religieuses au Sénégal
Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine (voir photo)a touché du doigt une question préoccupante, lancinante et qui jusque-là, est occultée par la communauté musulmane du Sénégal.
Lorsqu’il déclare sans ambages : « Il y a une pléthore de fêtes religieuses au Sénégal. » Et, quand il appelle aussi si justement à une réglementation de ces cérémonies qui selon lui, ruinent l’économie du pays
La demande du ministre de l’intérieur, de lui affecter la gendarmerie, est inacceptable et incongrue.
S’agissant de l’insécurité et sa recrudescence permanente dans le pays, c’est l’Etat qui en est entièrement et le seul responsable. Car, il s’est fourvoyé, tête baissée, en s’engageant dans une voie sans issue, comme celle des APS avec ses 10000 agents de proximité, sous le prétexte fallacieux de sécurité de proximité. Ceci, sans tenir compte des objections motivées, contre un tel recrutement inopportun. Alors qu’il aurait fallu tout simplement, en lieu et place, autant en policiers et gendarmes de métier,
Le président du Think tank Ipode plaide pour l’élargissement du G5 sahélien au Sénégal
Ce vendredi 15 Mai 2015 sur le plateau d’Africa24 Mohamed Ly président du think tank Ipode qui était l’invité de l’African News Room a fait un grand plaidoyer pour l’élargissement du G5 au Sénégal. Avec des arguments solides Mr Ly rappelle à juste titre le leadership du Sénégal dans la sous région, son efficacité en matière de renseignement et de lutte contre l’émigration clandestine et souhaite que le Sénégal ne soit pas exclu de ce cadre sous régional sahélien. Il invite dans son plaidoyer à intégrer aussi l’Algérie qui joue un rôle majeur au Mali, en Libye et dans le Sahara.
https://youtu.be/K9teNt5qrEk
Un certain quotidien de la place, qui m’a souvent écorché d’ailleurs et parfois vif, au point de m’arracher quelques lambeaux de peau, est revenu à la charge en me faisant figurer, cette fois-ci, dans un groupe de sept compatriotes qui « se sont reniés pour des strapontins », depuis l’avènement de Macky Sall à la Magistrature suprême. C’est à la « Une » de ce quotidien, dans son édition du lundi 27 avril 2015. Pour que nul n’en ignore, la « Une » a pratiquement occupé toute la page, avec des titres chocs pour illustrer nos photos en bonne place : « Latif, Jules Diop, Jacques Habib, Mody Niang, Penda Mbow, Alioune Tine, Aziz Diop DANS LE MACKY ». « Où sont passées les sentinelles de la République ? »
La grève totale est une exception syndicale et la négociation en est la norme
La situation de l’école publique a atteint aujourd’hui un seuil critique très grave, mais il faut avoir l’honnêteté de reconnaitre quand même, que cela ne date pas de maintenant. Elle est la résultante d’accumulation de promesses et meures démagogiques, objectivement non applicables dans l’immédiat.
L’urgence d’un sursaut national pour la réhabilitation de l’école publique sénégalaise
La situation est préoccupante et grave pour l’enseignement dans notre pays, l’école publique se trouve en faillite par la récurrence des grèves et une année blanche pointe son nez si rien n’est fait. Ceci est le résultat d’une politique mûrement et froidement mise en place depuis les années d’ajustement structurel du Président Abdou Diouf. Et ceci pour faire progresser l’école privée et dévaloriser notre enseignement public. Nous en avons une conviction tant la dégénérescence de notre système scolaire a été accélérée. Il s’est installé depuis, un laxisme coupable de la part de l’Etat. Ce laxisme s’est mué en posture.
Promesse de réduction du mandat de Macky Sall: Sauver l’honneur ou succomber aux ambitions du Pouvoir ?
En écoutant certains concitoyens, on a comme l’impression, que le référendum prévu ne portera que sur l’unique point de la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans, et non, sur une nouvelle constitution qui tiendra compte de toutes les réformes des institutions, dont la réduction du mandat présidentiel.
Macky Sall et la durée de son mandat : est-ce un lien de confiance indéfectible que le Président a noué avec son pays ou laissera t-il certains cadres de son parti semer la suspicion?
Suite à certaines sorties de certains membres du camp présidentiel plaidant la non réduction du mandat présidentiel conformément aux engagements pris par le candidat Macky Sall et par le Président élu Macky Sall. Nous avons observé jusque-là un silence d’un calme olympien
Ça craint. Les retraités battent de l’aile
Le Fonds national de Retraites (FNR) couvre les pensions de fonctionnaires civils et militaires. Il s’agit d’un fonds spécial du Trésor dont la gestion administrative est assurée par la Direction de la Solde, des Pensions et Rentes Viagères. Rien à voir avec l’Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal (IPRES) qui couvre les employés du secteur privé, les agents non fonctionnaires de l’État et les employés des administrations locales.
Du Développement de l’outsourcing sur les activités de finance de marché au Sénégal
La crise financière a conduit l’économie mondiale à la réduction des volumes échangés sur les marchés financiers et à la stagnation des coûts fixes. Ces deux tendances ont conduit à un changement sans précédent dans la gestion des coûts et des revenus des multinationales, réduisant ainsi de manière significative leurs marges globales. Pour la viabilité de ces dernières, ces multinationales ont dû s’attaquer à une réduction drastique de leurs coûts, pouvant aller jusqu’à plus de 30%.