Le Sénégal est à la croisée des chemins et tout ce qui s’y passe représente des prémisses d’un pays en phase d’émergence, de maturation politique et de décollage économique. Le discours du Président Macky Sall ce 21 Septembre à la tribune des Nations Unies, nous a rappelé que notre pays joue une partition non négligeable dans le concert des nations pour le règlement de certains conflits, l’agenda 21, la construction d’une Afrique unie et d’une paix durable dans le monde. L’écoute que notre diplomatie bénéficie dans le concert des nations est au delà de notre poids démographique, militaire et économique. C’est une source de satisfaction qui alimente un optimisme raisonné.
Moha
RAMA YADE EN COMPAGNIE DE MOHAMED LY EN TOURNEE AU SÉNÉGAL ET EN COTE D’IVOIRE
Du samedi 1er au 5 octobre 2016, Rama Yade et Mohamed Ly président du Think Tank Ipode se sont rendus à Dakar et à Abidjan où ils ont été reçus en audience par M. Macky Sall et M. Alassane Ouattara, respectivement Président de la République du Sénégal et Président de la République de Côte d’Ivoire.
Mme Yade et Mr Ly à l’occasion de ce déplacement ont donné à voir l’Afrique nouvelle, celle qui gagne et connaît une véritable révolution économique, technologique et écologique
Le Sénégal face aux défis de l’intégration sous régionale: faut il s’inspirer du Venezuela ?
Les pièges des dérives de l’Étatisation de nos Économies.
Le Sénégal est un pays membre de “l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine” (UEMOA), groupant huit pays anciennement colonisés par la France qui continuent de leur être liée par des Accords de coopération économique, financière et militaire des leur accession à l’Indépendance nationale en 1960. Le Sénégal est la deuxième Économie après la Cote d’Ivoire dans ce regroupement sous régional. Ensuite, depuis 1975, le Senegal, est, avec 15 autres États dont les Huit membres de l’UEMOA, partie intégrante d’un regroupement sous régional plus vaste avec 300 millions de consommateurs, que constitue la “Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest” (CEDEAO) dont il est la quatrième Économie derrière le Nigeria, la Cote d’Ivoire et le Ghana.
Fidel Castro Ruz fut un homme qui s’était entièrement consacré à la révolution en général et à son pays en particulier, sa vie durant. C’est véritablement, un exemple de constance et de fidélité à ses convictions communistes profondes, comme cela doit l’être pour tout homme d’ailleurs, par rapport à ses convictions.
Le code des Marchés publics au Sénégal : entre incertitude, recherche d’efficacité et de célérité
Le secrétaire d’État en charge du suivi du Pudc (Programme d’urgence de développement communautaire), Souleymane Jules Diop trouve que les normes de passation des marchés publics ne sont pas faciles à suivre. « Je ne parle pas pour critiquer, mais nous avons un Code des marchés qui pose beaucoup de contraintes, mais surtout de temps et de délai
Interview de Mohamed LY Président du Think Tank Ipode dans le journal LeQuotidien
Mohamed Ly, président- fondateur du Think Tank Ipode : «La recomposition politique dépendra des Législatives»
Abdoulaye Wade est le seul responsable de la culpabilité de son fils Karim Wade
Il a donc franchi le Rubicon, en graciant sans état d’âme le premier condamné de la Traque des biens mal acquis, Karim Wade, le fils de son père, le distingué disciple de son marabout.
Je ne m’attarderai pas sur le mystère, les nombreuses zones d’ombre qui entourent cette rocambolesque grâce. Des observateurs plus avertis que moi se chargeront de jeter une lumière sur cette affaire qui est un reniement de plus, et pas des moindres, des engagements du candidat Macky Sall. L’objectif de cette contribution est de revenir un peu en arrière, de montrer comment Wade-père a créé pour Wade-fils les conditions qui lui ont permis d’organiser le pillage systématique de nos maigres deniers publics.
Sénégal: Libération de Karim Wade fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, en catimini et nuitamment !
En vérité, la libération de Karim Wade est l’expression achevée et la matérialisation parfaite d’une justice de classe. Elle prouve à suffisance, que la lutte de classes est bien réelle et encore plus actuelle aujourd’hui que jamais, même si l’on tente de la masquer. Sinon, pourquoi Macky Sall n’a pas libéré, pour les mêmes raisons, les milliers de pauvres voleurs, prisonniers de droit commun, comme Karim, qui croupissent encore en prison
Les préoccupations des Sénégalais se trouvent bien ailleurs, que dans les retrouvailles de la famille libérale
Si toutefois, les rumeurs, qui circulent avec insistance ces temps-ci dans notre pays, sont avérées, ce serait vraiment, un manque de respect total, du président Macky Sall, envers les 65% d’électeurs qui avaient voté en sa faveur en 2012, contre Me Wade. Ce serait, même également, dans une certaine mesure, une trahison sans équivoque et un détournement du choix des citoyens. Disons dans le vrai sens du terme, de son engagement solennel envers le peuple sénégalais, comme toutes les coalitions qui l’avaient soutenu à la présidentielle de 2012.
Nécessité d’une rupture effective avec le passé décadent du fonctionnement de notre administration
Actuellement au Sénégal, tout le monde s’émeut, s’inquiète, se plaint et se pose quantité de questions sans réponse, c’est-à-dire pourquoi tous ces accidents mortels et drames qui se multiplient chaque jour davantage, sans qu’on ait même aperçu un début de solution, à plus forte raison, une solution radicale et définitive?
Sénégal : Deux alternances ratées et continuité dans la mauvaise gestion socialiste
Le 19 mars 2000, le peuple sénégalais tournait une nouvelle page de l’histoire politique du pays. Ce jour-là, les électeurs portèrent au pouvoir le candidat Abdoulaye Wade en lui accordant 58,49 % de leurs suffrages. Le candidat sortant, Abdou Diouf, était pratiquement confiné dans son score du premier tour, passant de 41,30 % à 41,51 %. Il perdait ainsi le pouvoir après 40 ans de présence au cœur de l’Etat socialiste.
Ils ont sauvé leurs sept ans, et c’était pour eux le plus important. Le « oui » l’a en effet remporté avec 1 357 412 voix, soit 62,70 % des suffrages exprimés. Mais la victoire est modeste, si on considère le taux d’abstention très élevé : plus de 60 %. En d’autres termes, sur un peu plus 5 500 000 inscrits, seuls 2 184 311 ont voté. Les vainqueurs s’empressent de comparer avec les référendums en Europe où les mêmes taux d’abstention élevés sont récurrents.
Réformes Institutionnelles au Sénégal : Appel de leaders de la société civile pour l’élargissement et l’approfondissement du texte référendaire
Ce Mardi 16 Février 2016, le Président Macky Sall s’est exprimé sur la réforme des institutions. Une des réformes sur lesquelles il s’était engagé en accédant à la magistrature suprême. Dorénavant le périmètre de la réforme est connu, le référendum est décidé comme moyen de sa mise en place et la date du référendum retenue sera le dimanche 20 Mars 2016.
On peut être perplexe ou déçu de l’ampleur ou de la profondeur des réformes. Néanmoins celles qui sont proposées par le Président de la République sont consolidantes. C’est un pas en avant pour le pays. Ces réformes pertinentes ont été demandées et voulues par toutes celles et tous ceux qui ont milité et œuvré pour une démocratie solide et stable au Sénégal. Cette demande a été faite par la classe politique et la société civile.
Nous ne connaissons pas la mesure disciplinaire entamée à l’encontre de l’inspecteur principal des impôts Ousmane Sonko et les conséquences de celle-ci sur sa carrière, mais ce conflit est assez sérieux pour notre démocratie pour qu’on s’y penche. Nous trouvons brutale et préjudiciable la sanction à l’encontre d’Ousmane Sonko, à savoir sa traduction devant le Conseil de discipline. Il est certes tenu par un certain devoir de réserve comme le relève mon aîné Ibrahima Séne du PIT, mais en plus d’être ce patriote qui est un très bon agitateur d’idées il est surtout un chef de parti dans une démocratie qu’on veut grande comme la nôtre. Nous ne rentrerons pas tout de même dans le juridisme du droit du travail, même si ce cas relève de la Fonction publique.
Avec son statut d’Ecole Normale Supérieure (ENS) (actuellement appelée FASTEF) elle avait pour objectif premier de former les enseignants devant enseigner aux niveaux moyen et secondaire de notre système éducatif. Sa deuxième fonction était de former aussi les futurs inspecteurs de l’enseignement élémentaire.
Dans ma dernière contribution, j’ai passé en revue quelques maux qui gangrènent notre administration et m’étais engagé à poursuivre cet exercice. Il convient d’ores et déjà de rappeler l’engagement ferme du candidat à l’élection présidentielle du 25 mars 2012 à « réduire de façon drastique » les agences nationales d’exécution
Il y a une légitime impatience des citoyens par rapport à l’exécution annoncée et prévue des projets du Président Macky Sall dans le Plan Sénégal émergent (PSE). En Août 2014, le Premier ministre annonçait que 2015 serait l’année des grandes réalisations.