Avouons que nous regardons rarement la télé à cause de la pitrerie de certaines émissions qui y sont diffusées sans le moindre contrôle d’un maître de l’art. Mais à vrai dire, nos médias, à travers certains de leurs animateurs ainsi que les programmes proposés, sont absolument très loin d’être des facteurs de qualité, qui véhiculent une éducation instructive appropriée et bénéfique aux populations.
Affaires Politiques, sociétales et Institutions
Le samedi 15 mars 2014, IPODE a organisé, à l’ENDSS, un forum autour du thème : « Réforme des institutions: fondamentaux, convergences et divergences autour du rapport de la CNRI. » Cette initiative, heureuse, est à encourager. Il convient de signaler que ce n’était pas là la première initiative de IPODE au Sénagal. Elle en a organisé de nombreuses autres, sans compter les contributions écrites pertinentes de ses différents membres sur les questions d’intérêt national.
Enfin le rapport de la commission nationale de reforme des institutions a été rendu public et nous en avons pris connaissance. Pour avoir travaillé sur la question et participé dans un esprit citoyen au débat sur la question nous nous empressons ici de donner nos premières impressions. la CNRI a rendu un travail sérieux, dépouillé et très intéressant dans le fond et qui mérite adhésion dans sa globalité.
Dans le débat en cours sur le rapport de la CNRI, en ce qui me concerne, il n’est ni question de remettre en cause la noblesse et le respect mérité des membres de la CNRI ni de celui du professeur Mbow, mais de revenir aux principes de base de la république: être républicain jusqu’au bout. Je trouve l’analyse de certains observateurs viciée dès le départ, quand il propose au chef de l’état d’appeler à un referendum sur l’avant-projet de constitution de la CNRI pour avoir la conviction de l’adhésion massive du peuple autour du travail du respectable Amadou Moctar Mbow.
Acte 3 de la décentralisation : La planification, une exigence pour la territorialisation des politiques publiques
[vc_row el_position=”last”][vc_column][vc_column_text]La politique de décentralisation au Sénégal relève d’une tradition très ancienne. Initiée bien avant les indépendances, elle s’est traduite, dès l’accession à la souveraineté nationale et internationale du pays par plusieurs initiatives visant à l’approfondir.
Leçons de la crise Malienne pour le Sénégal : l’inquiétante analyse du Dr Penda MBow
[vc_row el_position=”last”][vc_column][vc_column_text]Le Dr Penda MBow est une personnalité importante de ce pays. Historienne, Maitre-Assistante à l’université de Dakar, analyste politique et membre influente de la société civile sénégalaise, elle a participé à la chute du Président Wade.
Depuis la sortie du parti Rewmi de la coalition Benno Bok Yaakar les tentatives de justifier que cette coalition a bel bien une vision partagée entre les alliés qui la compose sont nombreuses et décrivent un malaise politique palpable. De toutes les justifications qu’on nous sert celle qui me paraît la plus embarrassante est celle qui essaie de nous faire croire que la DPG représente une vision commune des alliés
Billet sur le remaniement au Sénégal: Premières analyses à chaud de l’attelage Aminata touré
Le président de la République fait encore preuve d’écoute et de pondération.
En ayant pris le contre pied de tous les observateurs et de certains de ses proches en démettant son Premier ministre Abdoul Mbaye à la surprise générale, cela confirme qu’il est seul maître du jeu aujourd’hui s’il en était besoin de le prouver. Le Président Macky Sall ne se prive pas de faire jouer et jouir de toutes ses prérogatives.
[vc_row][vc_column][vc_column_text]
Synthèse: La réforme des institutions est un des engagements phares qu’avait pris le candidat Macky Sall aux dernières présidentielles. Pour le respect de cet engagement, un travail a été confié à la Commission Nationale de Réforme des Institutions (CNRI) afin de proposer au Président de la République les différentes réformes à adopter pour une nouvelle constitution
Par Mohamed LY
«Je pense que récupérer aujourd’hui hui 850 millions vaut mieux qu’attendre 5, 6, 7ou 8 ans parce qu’un procès pénal peut durer autant de temps. Que d’aller chercher un hypothétique milliard de FCFA», soutient Latif Coulibaly. Je trouve son argumentaire pathétique et inconcevable pour un ministre.